L’interview : sur l’insécurité dans la Ville Province de Kinshasa   

À Kinshasa, le problème de l’insécurité prend de plus en plus des allures inquiétantes, beaucoup de personnes en sont victimes depuis plusieurs années. Cette situation inquiéte du jour au jour les habitants de cette ville. Ce vendredi 30 août, Deborah      , habitant de la commune de

…. S’est entretenu avec Mparama Lunbondo Podivie, Journaliste-stagiare chez JA@presse.

Bonjour Madame Deborah,

Bonjour!

Très heureuse de vous recevoir aujourd’hui !

Peux-tu nous expliquer selon vous, c’est quoi l’insécurité ?

L’insecurite, c’est un sentiment qui renvoie à l’instabilité. C’est lorsque l’on n’est pas en sécurité, à la maison, au travail, au marché… On n’a pas de paix, ni de quiétude.

Est-ce que la ville de Kinshasa est calme où elle est en insécurité ? 

Non, dans certains coins de la ville, ce n’est pas calme; Oui, la ville est en insécurité car il y a beaucoup d’enlèvements ce dernier temps. L’insécurité dans la ville de Kinshasa, capitale de la RDC, est un problème complexe et multifacette qui a des conséquences sur la vie quotidienne des habitants et est causée parfois par une combinaison de violence politique et de criminalité.

Quels sont les problèmes de l’insécurité ?

Déslinquance, viol, violences, enlèvement, vol de biens, Lulu n’a…

Pouvez-vous énumérer quelques causes et conséquences de l’insécurité ?

La Crise économique, politique, le chômage, la non scolarité et manque d’occupations des jeunes… ce sont quelques causes que je peux énumérées. Tandis que les conséquences sont : des actes de violences urbaine, kuluna, viols, les enlèvements diurne et nocturnes, etc.

Quelle est votre contribution par rapport à cette situation ? 

Je dirai, que l’Etat à travers ses services tels que la police doit sécurisé les kinois et leurs biens; ainsi que les étrangers vivant sur son sol. L’Etat doit renforcé la mesure de la gratuité de l’enseignement pour permettre à tous les monde d’aller à l’école et créer des centres de formation pour occuper ceux qui n’ont pas fréquenté l’école.

Merci madame Deborah pour votre apport, espérons que cet article sera Lu par les autorités compétentes pour pallier à la situation. 

Mparama Lunbondo Podivie