Kinshasa dans le désespoir après la pluie 

Une forte pluie s’est abattue dans la nuit du 27 sep­tem­bre sur l’é­ten­due de la cap­i­tale con­go­laise.

Déjà qu’à Kin­shasa, après la pluie vient le mau­vais temps, et ses habi­tants n’ont pas glo­ri­fié ce moment car, cette pluie n’a fait que sus­citer peur et inquié­tude aux habi­tants de vivre encore des impor­tants dégâts.

Le boule­vard du 30 juin à la Gombe, lorsqu’il pleut

Ajouter à cela les inon­da­tions qui ne font que ren­forcer la ter­reur à la destruc­tion voire aux pertes en vies humaines.

D’autres, vic­times pensent qu’il aurait fal­lu faire le néces­saire pen­dant tous les jours con­som­més à la sai­son sèche,cest-a-dire, cur­er et agrandir les caniveaux comme solu­tion à long terme pour met­tre fin à ce prob­lème, leur inquié­tude.

En effet, pen­dant ce moment de pluie la panique a envahi l’e­sprit des kinois, un autre dan­ger auquel ils fer­ont face.

La pluie et ses con­séquences à Kin­shasa

Pour prévenir cela, la pop­u­la­tion appelle le Gou­verne­ment tant nation­al que provin­cial à anticiper la ges­tion tout risque.

La meilleure solu­tion est de pren­dre en compte nos préoc­cu­pa­tions, de vite se rat­trap­er avant que l’ir­ré­para­ble ne se pro­duise, à dit, un kinois. Car cette pluie a annon­cé ce qui pour­rait être plus grave. Déc­la­ra­tion d’un kinois.

                       Yas­mine Ngolo­ba