Jem'ah Association : A toi la parole, podcasts de femmes, un programme hors pair qui brise le silence et porte haut les voix de femmes et des filles congolaises .

Il s’est tenu dans le cadre du pro­jet A toi la parole pod­cast des femmes, ce mer­cre­di 2 octo­bre, au siège du cen­tre carter, une table ronde axé sur le har­cèle­ment en milieu sco­laire et académique .

Le har­cèle­ment se définit comme une vio­lence répétée à l’é­gard d’une per­son­ne. C’est un fléau qui gan­grène notre société voire les écoles et uni­ver­sités. Il est moral, physique et psy­chologique.

Dans les instal­la­tions du cen­tre carter de Kin­shasa, cette table ronde est un espace d’échange qui a réu­ni au total 19 par­tic­i­pants dont les mem­bres des affaires mon­di­ales Cana­da, le staff du cen­tre carter et de l’Am­bas­sade du Cana­da, les étu­di­ants, les élèves et les corps édu­cat­ifs, juste­ment dans le but de:

• faire un État de lieu,
• réfléchir sur les mécan­ismes à met­tre en place pour atténuer ce fléau,
• dénon­cer les caus­es et con­séquences de ces har­cèle­ments

afin de chercher les voies et moyens à instau­r­er pour lut­ter et éradi­quer ce fléau qui ne cesse de pren­dre de l’am­pleur au sein de la com­mu­nauté con­go­laise.

Les par­tic­i­pants

Prenant parole dans ce cadre inclusif, les par­tic­i­pants ont tous pris le temps de racon­ter leur vécu, les stress quo­ti­di­ens des proches et toutes les per­son­nes qui les entourent .

Les élèves et étu­di­ants. es

À toi la parole, pod­casts de femmes est un pro­jet mis en oeu­vre par le cen­tre carter et jem’ah asso­ci­a­tion dans le cadre du pro­gramme voix et lead­er­ship des femmes RDC financé par les affaires mon­di­ales 🍁🇨🇦.

Les élèves de l’é­cole main ouverte avec leur enseignant

A la fin de ces assis­es, les mem­bres des affaires mon­di­ales Cana­da et le staff du cen­tre Carti­er ont encour­agé les jeunes présents à la table ronde, à cause leur bravoure démon­trée et pris actes de les accom­pa­g­n­er pour la réal­i­sa­tion con­crète des pistes de solu­tion soumis­es.

      Sepho­ra Mpa­ka