RDC – Violences faites aux femmes : un combat quotidien contre l’injustice silencieuse
Malgré des lois protectrices et des efforts de sensibilisation, les violences faites aux femmes persistent en République démocratique du Congo. Chaque jour, des femmes subissent en silence des abus physiques, sexuels ou psychologiques. Une réalité alarmante qui appelle à l’action.
En RDC, des milliers de femmes vivent dans la peur constante de subir des violences. Qu’elles soient battues, humiliées, harcelées ou violées, beaucoup d’entre elles n’ont ni la voix ni la force de dénoncer. Ces violences ont souvent lieu dans les lieux censés être les plus sûrs : la maison, l’école, ou même le lieu de travail.
Selon plusieurs ONG locales, ces agressions sont commises par des partenaires intimes, des membres de la famille ou des figures d’autorité voire de proches. Le silence autour de ces crimes est favorisé par la honte, la pression sociale ou la dépendance économique.
Dans les grandes villes comme Kinshasa, Lubumbashi ou Goma, des centres d’écoute reçoivent chaque semaine des victimes. Mais ces structures restent peu nombreuses et manquent de soutien. “Ce n’est pas qu’un problème de femmes, c’est un problème de société”, insiste une activiste des droits humains.
La loi congolaise punit les violences sexuelles et conjugales, mais l’application reste faible et la justice lente. Il est urgent d’agir, de renforcer les mesures de prévention, de soutenir les survivantes et d’éduquer les communautés. Car protéger les femmes, c’est construire une nation plus juste.
La violence à l’encontre des femmes n’est pas une fatalité. C’est une injustice qu’il faut combattre avec courage, solidarité et engagement. Chaque femme a droit à la dignité, à la sécurité et au respect.
FAÏDA NEEMA Jeanne
Étudiante en L2 genres et Droits humains (UNISIC)
C’est très intéressant, mais ce que je voudrais mettre en évidence est que quand on parle de genre ce n’est pas seulement une affaire des femmes, là nous cherchons voir une société juste où les rôles ou les tâches se répartissent équitablement.
Comme, j’aime le parler souvent, parler du genre n’est pas seulement favoriser un groupe des individus qui les femmes dans des sociétés, mais quand on parle du genre , on fait liaison aux rôles socioculturels masculins et féminins et aux rapports entre femmes et hommes.
Ensemble, nous allons réduire les violences basées sur le genre.
Tout à fait