Les « 16 jours d’activisme » est une campagne internationale qui se déroule chaque année du 25 novembre au 10 décembre. Elle vise à sensibiliser et à mobiliser le monde contre la violence basée sur le genre, en se terminant le 10 décembre pour coïncider avec la Journée des droits de l’homme.
Pendant ces 16 jours (2025), un podcast de femmes et hommes membres et partenaires de cette association sera posté afin de motiver le public à ce combat. Des émissions seront tournées dans les marchés communautaires urbains pour sensibiliser les commerçantes et les entrepreneures à se reveiller et à barricader le harcelement, le viol, violences, etc.
Bref, ce sont des activités organisées pour appeler à la solidarité mondiale et à l’action pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes, des filles et des communautés.
Jem’ah invite tous le monde à s’impliquer pendant cette campagne mondiale qui encourage l’engagement de la société civile et des gouvernements pour mettre fin à la violence en génerale et particulierement en ligne. Car le théme qui sera traité cette année est: Non aux violences numériques contre les femmes et les filles en 2025.
C’est le combat pour mettre fin à ces violences, qui incluent le harcèlement, le chantage, le traque et la désinformation en ligne, notamment grâce à l’IA. L’objectif est de faire pression sur les gouvernements pour qu’ils adoptent des lois de protection, les entreprises technologiques pour qu’elles sécurisent leurs plateformes, et de mobiliser le public pour soutenir les survivantes et dénoncer la haine en ligne.
Comme Actions clés pour 2025, Jem’ah et d’ autres association & mouvements de femmeq avance dans le plaidoyer afin d’ (de) :
- Inciter les gouvernements à adopter des lois criminalisant la violence numérique et à renforcer la protection des données personnelles.
- faire respecter les lois sur la protection de femmes qui existent…
- Exiger des entreprises technologiques la sécurité de leurs plateformes, la suppression des contenus nuisibles et plus de transparence sur leurs actions.
- Encourager les individus à s’exprimer, à soutenir les personnes survivantes et à remettre en question les normes en ligne préjudiciables.
- Investir dans les organisations féministes qui luttent contre la violence numérique et dans les défenseur·se·s des droits numériques.
- Utiliser les plateformes numériques pour partager des messages et des histoires, afin de susciter le dialogue et l’action commune.
La redaction


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