Les Violences prennent des formes très diverses :
- violences domestiques (coups, violences psychologiques, viol conjugal, féminicide) ;
- harcèlement ou agression sexuelle (viol, avances sexuelles non désirées, harcèlement dans la rue, cyberharcèlement) ;
- mariage précoce et forcé ;
- mutilation génitale féminine ;
- trafic d’êtres humains (esclavage, exploitation sexuelle), etc.
3n RDC, ces violences sont reccurentes surtout dans la partie Est du pays oû se vivent de conflits à haut niveau. Et, le constat est que les hommes dominent sur les femmes; les minorités aussi en souffrent.
Selon le rapport de l’OMS, Près d’une femme sur trois – soit environ 840 millions de femmes dans le monde – est victime de violences conjugales ou sexuelles au cours de sa vie, un chiffre qui a à peine changé depuis 2000. Ces 12 derniers mois, 316 millions de femmes – soit 11 % des femmes âgées de 15 ans ou plus – ont été victimes de violences physiques ou sexuelles de la part d’un partenaire intime. Le recul de la violence entre partenaires intimes est malheureusement lent, la baisse annuelle étant de 0,2 % seulement au cours des deux dernières décennies.
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16 jours d’activisme: Violences numériques
L’année 2025, la campagne sur la lutte de violences est consacrée sur le cyberharcelement. Avec l’internet, (logiciels, applications et des connexions mobiles, reseaux sociaux), ces plateformes ont favorisé la violence en ligne sous diverses formes, telles que harcèlement, humiliations, discours haineux et sexiste, propos injurieux, envoi d’images à caractère sexuel ou divulgation d’informations confidentielles, fakenews, etc.
De ce fait, quelques femmes ont réagit à travers de podcasts, réalisés au studio jem’ah:
Les femmes et les filles subissent-elles la cyberviolence en RDC?
Oui, les femmes et les filles congolaises subissent de violences numériques, voire les autorités femmes telles que les ministres, les chefq d’entreprises, les femmes mariées, célibataires, les religieuses, les eleves comme leq étudiantes toutes les couches confondues.
Cela au vue des autorités incapables d’apporter leurs soutien aux victimes et les rendre justice face à leurs bourreaux, raconte Noemi Omba, activiste de droits de l’homme.
Comment palliet à cette situation?
L’ Etat doit apporter soutien et assistance aux femmes et filles ainsi que les minorités ou toutes personnes qui subissent de violences numériques; faire appliquer les lois face aux harcelements en ligne ou adopter de nouvelles lois qui mettrons ces citoyens à l’aise et en sécurité en ligne.
Voilà la raison de ces 16 jours d’activisme.
La redaction


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