L’inclusion des femmes dans le monde du travail : un enjeu stratégique, pas un simple geste symbolique.

Dans un monde pro­fes­sion­nel en con­stante muta­tion, où l’innovation, la per­for­mance col­lec­tive et la dura­bil­ité sont dev­enues des pro­priétés, l’inclusion active des femmes ne peut plus être reléguée au sec­ond plan.

Pour­tant, mal­gré les dis­cours sur la diver­sité et l’inégalité la réal­ité est encore mar­quée par des iné­gal­ités struc­turelles : pla­fond de verre, sous Représen­ta­tion dans les postes de deci­sion, écart salar­i­al per­sis­tant, ou encore faible présence dans cer­tains secteurs stratégiques.

Les freins à la par­tic­i­pa­tion active des femmes ne relèvent pas unique­ment de la volon­té indi­vidu­elle.

Ils sont inculqué dans le men­tal : normes de genre intéri­or­isées, absence de mod­èles féminins dans cer­tains métiers, manque de flex­i­bil­ité dans l’organisation du tra­vail, ou encore proces­sus de pro­mo­tion biaisés.

Le déséquili­bre dans la répa­ra­tion des Respon­s­abil­ités famil­iales con­tin­ue égale­ment d’impacter la tra­jec­toire pro­fes­sion­nelle des femmes, par­fois dès le pre­mier enfant.

L’entreprise de demain ne pour­ra pas se con­stru­ire sans les femmes d’aujourd’hui .
Sans pro­mou­voir leur pleine par­tic­i­pa­tion. C’est garan­tir des organ­i­sa­tions plus per­for­mantes, plus justes et mieux encrées dans la réal­ité sociale…il ne s’agit plus de se deman­der s’ il faut agir, mais com­ment agir effi­cace­ment et durable.