Femme : Les droits fondamentaux de la femme ne sont que des droits humains
Les années antérieures la femme à été connue comme une être faible, incapables de travailler dans les secteurs dits des hommes. Elle n’avait de place qu’à la cuisine, à la maternité.
Mais après plusieurs efforts fournits par la société civile, les féministes, l’État, les femmes se sont ressaisi et ont compris qu’elles valaient plus; et pouvaient occuper des postes beaucoup plus important dans n’importe quel domaine.
Aujourd’hui, notre micro est allée à la rencontre d’une femme exceptionnelle, qui exerce dans l’armée marine des Forces armées congolaises, FARD. Elle s’appelle Judith Matongo, elle a accepté de répondre à nos différentes questions.
Webradio Jem’ah : est-ce que une femme peut-elle occupé une place dans les services de défense congolaise ?
La place réserve aux femmes au sein de la FARDC, qui est la défense nationale était traditionnellement limitée dans notre pays aux hommes, or, la constitution de notre pays reconnait que chaque individu est un citoyen à part entière, et peut exercer le métier de son choix. Je ne suis pas seule, a ce jour, l’on compte beaucoup des femmes dans toutes les unités.
Depuis quelle période les femmes ont-elles intégré l’armée ?
Dans les années 60 il y a eut l’intégration des femmes dans les forces armées congolaises. la première fois les femmes ont démontré de quoi elles étaient capables dans la mesure où elles ont cristalliser l’énergie. Elles ont intégrer les différentes unités et ont travaillé jusqu’à convaincre les autorités. Elles ont humaniser la société au sein de laquelle les droits et les devoirs des femmes sont respectés et reconnus.
Comment pouvez-vous différencier les femmes des années où la RDC a acquis son indépendance et celle de nos jours ?
Avant les femmes ne valaient rien, elles n’allaient pas à la guerre. Elles jouaient des rôles spécifique dans l’armée, ramener la nourriture et les vêtements aux hommes qui sont au front. Mais aujourd’hui, elles ont bravé la peur, elles ont posé des actes des bravoures. Et, sont à la tête des bataillons et vont aussi aux fronts. Sans complexe, elles travaillent très bien.
Un conseil aux femmes
Comme conseils, je dirais aux femmes congolaise de ne pas accepter les surnoms de la faiblesse, paresseuse, bonne à la cuisine, etc. une femme est appelé à être forte, leader intelligente, sage et de briser la négativité pour exposer son potentiel.
Elles doivent travailler comme leurs collègues hommes et être ambitieuse.
E. Stagiaire