Six jours après l’obtention de sa licence en Sciences économiques et administrations des affaires à l’ UPC, Jeandy Mwamba nous accorde une interview ; ce dernier se confie au micro de Jem’ah.

Quelles sont les principales motivations qui vous ont conduit à  choisir cette facultéet cette option?

Mwamba: j’ai toujours aimé les sciences économiques,  être en contact avec les chiffres.

Quelle est la partie qui t’a semblé difficile durant l’élaboration de ton projet ?

Mwamba : « La collecte des données est la partie la plus difficile durant l’élaboration d’un mémoire. »

Quelles ont été les principales motivations qui vous ont conduit à choisir votre sujet de mémoire ?

Les secteurs bancaires m’ont toujours passionné, surtout les activités bancaires. Parmi les principales activités bancaires, il y a le crédit ou l’octroi de crédits. Cette activité comprend des risques, notamment le risque de non-remboursement. Cela nous intriguait de savoir comment les banques font face à ce risque, d’où est partie l’envie d’étudier ce sujet.

Comment votre travail de fin de cycle contribue-t-il à la compréhension des enjeux actuels dans votre domaine d’études ?

Dans notre travail, nous exposons tous les risques liés au crédit en mettant l’accent sur le contexte congolais. Nous entrons en profondeur sur ces risques et nous proposons des pistes de solutions adéquates afin de les minimiser.

Quels défis avez-vous rencontrés lors de la recherche et de la rédaction de votre mémoire ?

La collecte des données est l’étape la plus difficile dans l’élaboration d’un mémoire, surtout que nous parlons d’un sujet qui touche les banques, où les informations sont souvent à caractère confidentiel. Le plus grand défi était que les banques ne nous ont pas procuré les données nécessaires sur leurs gestions de risques de crédits à temps, mais on la fait.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs étudiants qui s’apprêtent à défendre leur mémoire à l’Université Protestante au Congo ?

Prendre ce travail au sérieux, bien élaboré son projet, suivre les consignes du promoteur et aitres encadreurs, s’y donner à fond, et surtout être maître de leur propre travail; ne pas se laisser intimider par les jurys ou qui que ce soit.

BADIKAY KABWE