SANTÉ : L'INTERVIEW SUR LES DIFFICULTÉS QUE LE CENTRE MÉDICAL SION RENCONTRE LORS DE LA RÉCEPTION DU CAS DE MALADE.

Échanges avec le Doc­teur Olivi­er Kadi­ma, l’un de Médecin du cen­tre Médi­cal SION, dans la com­mune de Masi­na pré­cisé­ment au quarti­er Kasaï, ce ven­dre­di 30 août, sur le dif­fi­cultes ren­con­trées pen­dant l’ex­er­ci­ce de leur méti­er. Plusieurs mal­adies sont traités telles que le Palud­isme,  appelé com­muné­ment en RDC. MALARIA. Cette mal­adie qui tue vieil­lards  adultes, jeunes, enfants voire fœtus sans pitié; la fièvre thiphoide,  l’angine,  la toux, etc.

Nous avons eu à inter­view­er ce Doc­teur, pas­sion­né de son tra­vail pen­dant plus d’une heure. Il n’ a pas hésité une fois de répon­dre à nos dif­férentes préoc­cu­pa­tions sur le Palu.

Depuis le début de ce mois, com­bi­en de cas du palud­isme avez-vous déjà traité ?

Doc­teur Olivi­er kadi­ma: à ce jour, déjà dans le 30 cas de palud­isme que nous avons pris en charge cor­recte­ment dans notre cen­tre Médi­cal.

Per­lem­buyi, jour­nal­iste: Pou­vez ‑vous nous don­ner l’ef­fec­tif total de cas des malades guer­ri depuis la créa­tion de ce cen­tre ?

Doc­teur Olivi­er kadi­ma: Oui, nous sommes déjà dans près de 500 cas qui ont été con­sulté dans le cen­tre Médi­cal SION donc toute patholo­gie con­fon­due . Nous sommes env­i­ron dans le 500 qui sont venu nous con­sulté et qui ont retrou­vé la guéri­son par l’en­trem­ise de nos ser­vices.

Perle Mbuyi, jour­nal­iste: Quels sont les matéri­aux qui man­quent et qui vous empêchent et posent des dif­fi­cultés à recevoir d’autres malades et à traiter d’autres cas ?

Doc­teur Olivi­er kadi­ma: Nous vivons à l’époque où la tech­nolo­gie fait sa loi dans des presta­tions de SION , Nous recevons des cas qui demande un scan­ner par exem­ple que nous n’avons pas qui deman­der par exem­ple l’im­agerie raison­nance mag­né­tique et nous en avons pas. Ce sont des gros équipement qui peu­vent aider vrai­ment dans la prise en charge de cer­taine patholo­gie d’ur­gence comme: — Les acci­dents vas­cu­laires cérébrale. Nous man­quons aus­si la radi­ogra­phie qui nous per­me­t­trait si nous en avons à diag­nos­ti­quer cer­taines patholo­gies qui deman­derait des exa­m­ens de radi­olo­gie.

Per­le Mbuyi: votre mot de la fin

Doc­teur Olivi­er kadi­ma: Nous sommes là pour nos patients et, nous avons pour mis­sion d’ap­porter de solu­tions à leurs maux. Mer­ci!

Per­le Mbuyi, sta­giaire 

Spread the love

Comments are closed