Kinshasa : Utilisation du téléphone par les adolescents

De nos jours les smart­phones et ses mul­ti­ples fonc­tions sont util­isés par beau nom­bre des kinois dont beau­coup sont ado­les­cents. Cette util­i­sa­tion  sol­licite con­stam­ment l’attention de par­ents et des tuteurs.

Le télé­phone comme usage que la com­mu­ni­ca­tion télé­phonique appar­tient au passé est aus­si révolue.

A ce jour, cet out­il cel­lu­laire per­met se d’envoyer des mails, regarder la météo, se pho­togra­phi­er ou encore pour con­sul­ter son agen­da, c’est un com­pagnon pour cer­taines per­son­nes ; le télé­phone, appareil que bon nom­bre con­sid­èrent comme indis­pens­able, selon Vanes­sa Ngo­ma, agent d’une banque de la place à Kin­shasa.«

https://anchor.fm/jemah-rdc-tu00e9lu00e9vision/episodes/Limportance-du-tlphone-e1mn78v

 

Pour elles, les noti­fi­ca­tions com­men­cent à 07 heure et pren­nent fin très tard dans la nuit, en moyenne deux sms envoy­er toutes les 60 sec­on­des.

 

Le smart­phone doit être inter­dit aux moins de 18 ans, car la présence de ce dernier cause plusieurs prob­lèmes dans l’éducation de ces ado­les­cents » s’est exprimé un par­ent.

A son tour, Mike Muke­ba loue le côté posi­tif du télé­phone chez les ado­les­cents, comme la con­nec­tiv­ité et la disponi­bil­ité, pour tou­jours savoir où se trou­ve l’enfant, ce qu’il peut être en train de faire, faire des études ou des recherch­es.  

https://anchor.fm/jemah-rdc-tu00e9lu00e9vision/episodes/Limportance-du-tlphone-portable-e1mn6t7

 

 

Qu’à cela ne tienne, le télé­phone a un côté négatif et un côté posi­tif, d’où les par­ents, les adultes voire les tuteurs doivent agir en toute respon­s­abil­ité pour véri­fi­er le con­tenu de l’ado­les­cent dans son télé­phone surtout ceux qui ont dépassé 15 ans. A par­tir de 14 ans jusqu’en bas de l’âge, l’en­fant n’a pas droit au télé­phone.

 Djon­go Laëti­tia et Detele­do Kalam­bay Claude / sta­giaire

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