Webradio jem'ah a rencontré Rachel lsiaka, étudiante à l'ifasic

Webra­dio Jem’ah: qu’est- ce qui vous a poussé a etudi­er à l’I­fa­sic et à vous spé­cialis­er en sci­ences de l’in­for­ma­tion et de la com­mu­ni­ca­tion

 Rachel Isi­a­ka : elle est per­ti­nente cette ques­tion. Je n’avais pas envie de devenir jour­nal­iste mais j’aimais écrire, racon­ter ma vie, dis­cuter avec les autres. Je me suis dit, si j’al­lais à l’i­fa­sic, je pour­rais abor­der plusieurs sujets et ren­con­tr­er dif­fer­entes per­son­nes.  L’i­fa­sic est reputée etre une bonne école de for­ma­tion de ces cadres.  Pour ter­min­er, je n’aimait pas les math­é­ma­tiques. Il y en a pas en SIC.

Le jour­nal­isme est reputé etre un meti­er d’hommes, vas-tu t’en sor­tir?

Oui, il n’y a pas des metiers unique­ment pour un’ sexe. Il y a de la place pour tous les monde en jour­nal­isme. Femmes ou hommes, c’est un etat d’e­sprit. Je vais m’en sor­tir et tra­vailler avec les hommes sans com­plexe.

Selon toi, quels sont les défis à relever en exerçant ce meti­er, de nos jours?

Le jour­nal­iste de nos jours doit s’adapter aux dif­fer­entes muta­tions surtout tech­nologiques.  Je dois inté­gr­er les NTIC, s’ap­pro­prier l’in­ter­net et l’usages de reseaux soci­aux, informer mon pub­lic sur les ques­tions d’ac­tu­alites.

Le mot de la fin, rachel

J’aime ce méti­er de jour­nal­isme. Je vais etudi­er et obtenir mon diplome de licence et tra­vailler sur ma com­mu­nauté. Je vais relever ces défis. Etre femme, n’est pas un hand­i­cap.

Rachel Isiaka/stagiaire

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