L’influence de la friperie sur l'accoutrement des jeunes à Kinshasa.

His­torique­ment, les orig­ines de la friperie remon­tent au moyen âge. À cette époque, seuls les per­son­nes rich­es, donc les per­son­nes issues de la noblesse et de la roy­auté avaient les moyens financiers pour s’offrir assez régulière­ment de vête­ments neufs. Le reste de la pop­u­la­tion, ne pou­vait pas s’en acheter par manque de moyen. Alors, elle s’a­chetait des habits déjà porté par les rich­es

Mais aujourd’hui ce n’est pas le cas, car nous trou­vons plusieurs caté­gories des per­son­nes vêtus d’habits de friperie.

La friperie (balo, tombo­la bwa­ka) est un com­merce de vête­ments usagés sou­vent préférés par une cer­taine caté­gorie des gens. Dans la ville de Kin­shasa, dans nos marchés, et dans dif­férents coins, nous trou­vons des habits étalés, par­fois neufs, à ce jour, cer­tains com­merçants ouvrent des grandes bou­tiques à friperie pour servir ces per­son­nes qui n’ont pas un revenu assez élevé.

Grande est notre sur­prise de con­stater que même ceux qui ont des moyens, de l’ar­gent tels que les artistes, les étu­di­ants, les boss comme on les nomme à Kin­shasa vien­nent se servir. Cela à réveil­lé la curiosité de notre rédac­tion.

selon, Hen­ry, acheteur trou­vé au marché Gam­bela, sur l’av­enue Ikelem­ba:

Nous recher­chons de bonnes choses car de nos jours, nous remar­quons la pira­terie dans les mar­ques, or, ici, c’est du vraie. Nous appré­cions des vête­ments d’occasions que ceux des chi­nois qui ne durent pas, soit qui est pop­u­laire. Et, tous le monde en a. Au delà, le prix est très bas, tous le monde peut s’en pro­cur­er.

Bref, la friperie sert à ce jour, les rich­es et les pau­vres.

KIKU­NIElodie /KITOKO Angela /Stagiaire

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